Ce parcours architectural est essentiellement focalisé sur les bâtiments publics qu’accompagnent diverses constructions privées à l’architecture moins singulière.
Détail de l'itinéraire
Description
L’espace compris entre les remparts et le remblai ferroviaire est un espace clef de la ville du XXIe siècle, enjeu majeur de présentation d’Avignon.
Ancienne zone d’activités spontanées au XIX e, qualifiée de zone d’échange dans les années 1960, elle a commencé à se former sur les marges méridionales de l’enceinte.
Au XIX e siècle, les abords des portes et des remparts de la ville enfin dégagés, la gare et son parvis, construits en 1860, se transforment en lieux de sociabilité ; ils amènent hors les murs toute une population en quête de loisirs et de promenade. Planté en 1890 de platanes dont l’ombre favorise la déambulation, le tour de ville voit s’implanter marchés, fêtes foraines, jeux de boules au
gré des besoins. Les cafés concerts s’alignent sur les boulevards Saint-Roch et Saint-Michel. Le Parc des équipages appartenant au 7e Génie et la caserne Chabran occupent les parcelles encore libres.
Les années 1960, avec le tout voiture, transforment le pied des remparts en un vaste parking et de nombreuses activités d’échanges et de relations – commerces de gros et de détail, entrepôts et garages – s’implantent dans cette zone.
Depuis quelques années, malgré l’absence de projet urbain d’ensemble, cet espace prend tournure. Les bâtiments publics en confrontation avec les remparts se réclament d’une nouvelle écriture architecturale par leurs formes, leur hauteur, leur couleur. La gare routière, qui se voulait mimétique de l’enceinte, a été
réhabilitée et la suppression des parkings redonne toute sa majesté au rempart.
Le descriptif de la balade architecturale est disponible ci-dessous :
Ancienne zone d’activités spontanées au XIX e, qualifiée de zone d’échange dans les années 1960, elle a commencé à se former sur les marges méridionales de l’enceinte.
Au XIX e siècle, les abords des portes et des remparts de la ville enfin dégagés, la gare et son parvis, construits en 1860, se transforment en lieux de sociabilité ; ils amènent hors les murs toute une population en quête de loisirs et de promenade. Planté en 1890 de platanes dont l’ombre favorise la déambulation, le tour de ville voit s’implanter marchés, fêtes foraines, jeux de boules au
gré des besoins. Les cafés concerts s’alignent sur les boulevards Saint-Roch et Saint-Michel. Le Parc des équipages appartenant au 7e Génie et la caserne Chabran occupent les parcelles encore libres.
Les années 1960, avec le tout voiture, transforment le pied des remparts en un vaste parking et de nombreuses activités d’échanges et de relations – commerces de gros et de détail, entrepôts et garages – s’implantent dans cette zone.
Depuis quelques années, malgré l’absence de projet urbain d’ensemble, cet espace prend tournure. Les bâtiments publics en confrontation avec les remparts se réclament d’une nouvelle écriture architecturale par leurs formes, leur hauteur, leur couleur. La gare routière, qui se voulait mimétique de l’enceinte, a été
réhabilitée et la suppression des parkings redonne toute sa majesté au rempart.
Le descriptif de la balade architecturale est disponible ci-dessous :